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Photo du rédacteurLinda Sauvé

Notre tolérance au malaise


Avec les années qui passent, on a presque tous développé une tolérance à la douleur intérieure. On tolère le stress, l’anxiété, les peurs, la colère et bien d’autres sensations plutôt que de faire quelque chose pour se sentir mieux voire se sentir bien qui, selon moi est la grande quête de l’humain. On espère qu’elles vont s’assoupir jusqu’à pouvoir affirmer devant son médecin de famille : je n’ai pas de problèmes ou de souvenirs douloureux.

On ne laisserait jamais un animal nous attaquer sans avoir le désir de l’arrêter; or, on se blesse quotidiennement en cultivant des pensées et des souvenirs qui nous empoisonnent la vie. C’est une blessure interne que seul notre for intérieur connaît comme le fond de sa poche.

Comme on a tendance à ne pas s’écouter – écouter cette voix qui crie parfois, cette voix qui est notre corps et qui ne demande qu’on l’écoute. On ne fait pas la connexion corps-esprit peut-être parce que la médecine traditionnelle n’y croit pas. Le corps suit toujours l’esprit. Par exemple, quand on pense que l’on a le poids du monde sur les épaules où croyez-vous que la douleur physique de cette pensée se loge? Vous l’aurez deviné, aux épaules. On écoute notre corps trop souvent lorsque la maladie ou une douleur chronique s’est installée.

Le «mal-aise» physique nous indique que notre pensée tend vers un désalignement de ce qui est bon et bien pour nous. Une session (ou plus) avec une praticienne en FasterEFT peut vous guider vers l'allègement de ce malaise, problème, doubleur, symptôme ou situation et faire le ménage de ce qui vous empêche d’être bien.

Je ressens une contraction.

Toute forme de contraction (cette sensation qui nous indique que quelque chose ne va pas en soi) doit être prise au sérieux. Rien de bon n’émerge de cet état. Croyez-moi! Si on fait continuellement fi de cette contraction, on vit à contre-courant. Toute action entreprise devient ardue, pénible et fatigante. Les solutions, les belles idées, les projets inspirants et que l’on mène aisément jusqu’au fil d’arrivée n’apparaissent jamais de cet état de contraction.

On ne gagne rien de cultiver cet état, ces pensées bouleversantes ou négatives qui sont une forme de stress négatif. Aucune pilule magique n’existe pour guérir cet état mise à part celle d’oser aller à l’intérieur de soi et les relâcher une à une avec le système de pensées FasterEFT.

Témoignage

Depuis 2008, je vivais avec une sciatica ( nerf sciatique coincé) qui avec les années avait empiré au point de ne pouvoir être debout, assise ou couchée très longtemps. J’avais eu des traitements chez l’acuponcteur, le naturopathe, le kinésithérapeute, mon médecin de famille et le chiropraticien, mais rien ne n’enlevait mon mal pour de bon. J’ai même dû arrêter un travail à temps partiel ne pouvant tout simplement faire mon travail jusqu’à le fin de mon quart de travail. En pleurs à 19h tellement j’avais mal alors que mon quart de travail ne se terminait qu’à 21h30. Toutes ces nuits en douleur extrême, mon corps n’en pouvait plus. Je devais trouver une solution.

C’est à ce moment que j’ai eu l’occasion d’aller aux États-Unis pour commencer ma formation en FasterEFT. J’ai fait la connexion corps-esprit. J’ai eu plusieurs sessions avec des praticiens dans cette modalité et j’y suis arrivée. Que s’était-il donc produit en 2008 pour que mon corps réagisse de cette façon? Sans vous dévoiler le pourquoi, je peux vous affirmer que mon mal était un mal émotif. Des émotions que j’avais repoussées/ refusées de vivre depuis bien longtemps et que j’ai ajustées depuis. Plus aucun mal.

La modalité FasterEFT, j’en ai fait mon nouveau travail – guider les gens vers le bien-être et la paix intérieure. Qu’attendez-vous pour vérifier si cette avenue pourrait vous aider? Cliquez ici pour faire une demande de consultation gratuite.


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